Une vie de larme et d'espoire

Il était une foie un jeune garçon
Seul, bien qu'entouré,il était à l'abandon.
C'est une triste histoire que fut la siene.
Et c'est dans ces ligne je retranscrit la miene.

Il était une foie un jeune homme. Il n'avait aucun talent particulier,juste le don d''étre joyeux et motivé. Il menait une vie sans grand trouble ni aventure. Il se contentait d'étre lui même dans ce monde obscur. Puis vin le jour de la déchance. Celui ou il quita l'enfance ainsi que l'ignorance. Il fut propulser dans un monde sans foi ni loi. Un monde ou il faut se batre a notre tour. Un monde ou on se sent abandonné. Ou nous somme lié a cette obscurité. Et quoi que nous fassion nous ne pouront jamai nous en détacher. Seulment les gens fort avance. Mais lui tenté veinement de ce racocher a l'enfance . Il ne voulait pas quité cette âme ou tout étais joyeux et calme. Mais brutament on lui aracha. Et lui se contanta de résté la. de l'autre coté de cette barriére. Il n'était pas abandoné, mais il résté confiné a ce réve impossible. Celui de ne pas grandir et de résté petit.

Le voila il résté la. Pourquoi ? ça on ne le sait pas. C'est amis avançé lui faisan signe de les ratraper. Mais il se refuser a bouger. Petit à petit un mur c'était créé. Le voila emprisoné. Une bulle de sentiment tous confondu. Amour, Amitié, Colére, Chagrin, Haine, Joie... Tous volé au dessu de sa tête, mais il était incapable de les attindre et de leur tenir tête. Alors il se concentra et et réussi a en attraper. Une larme roula sur sa joue, elle brillai de mille feu. a l'intérieur il y avait un mélange de chagrin et de tristesse mais aussi de la force. Alors douloureseusement il se leva, fit quelque pas et péniblement avança. Il rejoin les autres et derriére un mur de joie et d'humour, il cacha l'amertume d'avoir grandit. Ce sentiment profond qui encors aujourdh'ui le ronge. Et depuis lors si peut de lame coulére... Il se contentait de les garder pour paraitre fort... Mais aujourd'hui le 1 avril à 1h. Elle on enfin put s'échaper. Je suis des lors libéré. Tout simplement car la force est différent pour chacun de nous et il n'y à pas de honte a pleurer. On ce sent enfin libéré.